Chacun s’accorde à dire que le pays a besoin d’une révision radicale, à l’instar d’un moteur fatigué : la première forme serait, selon Jacques Julliard, celle qui porterait sur l’appréhension du réel, au pays de Descartes et de « l’Encyclopédie ». Pour ne rien dire des programmes des candidats, qui, tous, proposent d’augmenter les dépenses de l’État en réduisant ses recettes.