D’Andreï Doronine, né en 1980, on dit qu’il est une des nouvelles voix de la jeune littérature russe, restituant une vision du pays aussi éloignée de la nostalgie communiste que de l’ordre poutinien. En pleine guerre en Ukraine, il prend la plume pour « Marianne » : « Je ne vois pas de moyens d’influer sur les évènements sans souffrir personnellement, mais je choisis de rester et de ne pas me taire. »